Pour ma part, je réponds oui, et je ne suis pas le seul – c'est aussi ce qu'a dit, par exemple, la Défenseure des droits. D'autres estiment que non. C'est pourquoi nous avons un débat, qu'il convient de mener sereinement. Nous sommes là non pas pour partager des émotions, mais pour écrire du droit.