Ce sont en effet des Nanterrois qui constituaient la cohorte arrêtée et brutalisée sur le pont de Neuilly et qui, pour plusieurs d'entre eux, ont ensuite été emmenés dans les camps d'internement de Beaujon ou de Coubertin. Ce sont eux qui vivaient dans des conditions déplorables, parqués dans des bidonvilles dont il leur était interdit de sortir le soir.
Enfin, je salue le travail effectué avec Philippe Guillemard, député jusqu'au mois dernier.