pour que toute la vérité soit faite sur la responsabilité exacte du pouvoir politique de l'époque, pour que l'on cesse de faire comme si le préfet Papon avait agi seul, pour que l'on dise enfin que le massacre du 17 octobre 1961 fut le crime de tout un pouvoir, un crime colonialiste, un crime raciste, un crime d'État.