M. Philippe Pradal est même allé très loin en commission des lois, puisqu'il a dit la chose suivante – écoutez bien, vous êtes en train de nous rejouer 1984 : « Ce n'est pas parce qu'un représentant d'un parti d'opposition est en France qu'il est bienveillant à l'égard de notre pays et qu'il mérite une surveillance ou des précautions moindres. » Vous rendez-vous compte des propos que vous tenez ?