Eh oui ! Dans ce texte, vous proposez d'instaurer une surveillance algorithmique dont vous nous aviez d'abord dit qu'elle serait réservée à la lutte contre le terrorisme. Et voilà que vous étendez cette surveillance à d'autres domaines ! Je dois dire que nous sommes assez inquiets, compte tenu de la manière dont le débat s'est déroulé, dans l'hémicycle comme en commission. En effet, qui avez-vous régulièrement ciblé comme des agents d'influence ou des relais de l'étranger ?