Il s'agit, là encore, d'un amendement important : il prévoit que quatre ans après la promulgation du texte, les modifications apportées par l'article au code de la sécurité intérieure seront abrogées – ce qui garantit leur caractère expérimental, puisque si nous ne voulons pas qu'elles disparaissent, nous devrons légiférer de nouveau dans l'intervalle.