C'est un travail qui doit être effectué par les chercheurs, notamment les historiens, plutôt que par les services du ministère de la justice ou de l'intérieur. En outre, il s'agit d'un chantier colossal, puisqu'on parle de l'analyse de dizaines de milliers de procès-verbaux et de dossiers de condamnation. Or vous demandez ce rapport pour le 1er janvier 2025. Je doute même que la proposition de loi soit adoptée d'ici là !
Demande de retrait ou, à défaut, avis défavorable.