Il s'agit d'exempter de contribution sociale généralisée (CSG) et de contribution pour le remboursement de la dette sociale (CRDS) les allocations financières versées à titre de réparation d'impôts.
C'est déjà le cas pour les sommes versées aux harkis au titre des dispositions de la loi du 23 février 2022.
C'est également le cas pour les aides financières versées aux orphelins dont les parents ont été victimes de persécutions antisémites ou d'actes de barbarie durant la seconde guerre mondiale.
En l'espèce, les mêmes dispositions doivent s'appliquer.