Je ne veux pas donner de leçons de morale – je ne suis pas l'arbitre des élégances –, mais si nous sommes sensibles à ces insultes, comme nous devrions tous l'être, alors votons le texte, accélérons le débat, sans nous empêtrer dans des histoires stériles. On n'est pas là pour freiner le débat, comme le font l'un et l'autre bord de l'hémicycle ;