Vous le voyez, chers collègues, le cheminement pragmatique qui a abouti au texte que nous vous présentons ne remet pas en cause les équilibres anciens du droit de la presse ou de la liberté d'expression. Notre proposition se compose d'adaptations nécessaires et proportionnées à l'objectif poursuivi.
Le 08/03/2024 à 21:38, Aristide a dit :
Liberté d'expression : une fille violentée par un proviseur n 'a pas pas la possibilité de s'exprimer dans les médias, on la traite même de menteuse, on n'entend au contraire que les journalistes véreux, fervents supporters de l'anti-laïcité, maquillée en "laïcité" pour les besoins du mensonge d'Etat.
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