Chers collègues, je vous demande de prendre un peu de hauteur. Je le répète : cela ne nous intéresse pas de savoir si c'était la gauche ou la droite. Tout ce que nous voulons, c'est que l'État, à travers les parlementaires que nous sommes, reconnaisse qu'il a fauté. Nous n'entrerons pas dans la politique politicienne.