Il est compliqué de s'exprimer dans ces conditions, mais je souhaite dire un dernier mot, madame la présidente. Le travail transpartisan a payé. L'article 4 contient les dispositions relatives à la provocation à l'abandon de soins. Elles me tenaient à cœur et constituaient même la raison d'être de ce texte. Je suis donc ravie pour les victimes et la Miviludes que ces mesures soient en passe d'être adoptées. Je remercie tout le monde, notamment la DLPAJ et les députés de la majorité, d'y avoir consacré autant d'énergie.