Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d'État chargée de la ville et de la citoyenneté :
Même si – vous avez raison de le souligner – il convient de limiter les dérogations au secret médical, surtout sans l'accord du patient, le but reste de protéger les personnes en état de sujétion psychologique ou physique. Avis défavorable.