Dans le cadre de l'ouverture des groupes de niveau, je souhaite connaître les moyens alloués aux petits établissements ruraux. Le compte n'y est pas, d'où la crainte que les financements soient pris ailleurs, notamment au détriment d'options comme le latin ou l'allemand, voire des Segpa, souvent fermées et dont on redoute la disparition. Ce mouvement va à l'inverse de ce qui est prôné pour les groupes de niveau : la fermeture des Segpa entraîne des difficultés pour les enseignants et les élèves. Elle est injuste eu égard aux résultats qu'obtiennent ces sections : 80 % de leurs élèves poursuivent leur parcours en lycée professionnel et 40 % obtiennent un bac pro ou un CAP. Quelle est votre position sur le maintien du dispositif ?