Il reprend une alerte lancée par le Mouvement associatif au sujet du trop faible financement des têtes de réseau. Nous sommes tous d'accord pour reconnaître que leur rôle dans le renforcement du tissu associatif est incontournable. Dans le projet de loi de finances pour 2024, la somme de 659 000 euros a été allouée à leur financement. Nous considérons qu'il est nécessaire d'identifier leurs besoins et de les financer à la hauteur des missions qu'elles remplissent.
À mon tour, je profite de la parole qui m'est donnée pour anticiper les explications de vote du groupe GDR – NUPES. Dans la discussion générale, j'ai indiqué que nous nous abstiendrions. Ayant constaté de nombreuses avancées durant l'examen de cette proposition de loi, notamment en matière de simplification, je le voterai. Cependant, je n'ai pas eu l'occasion de préciser tout à l'heure mon désaccord au sujet de la taxe d'habitation : il me paraît essentiel de généraliser le dispositif prévu à l'alinéa 2 de l'article 5, afin d'éviter que seules les villes les plus riches soient en mesure d'en décider l'exonération.