Je ne comprends pas pourquoi vous vous énervez, monsieur le ministre. Peut-être ne l'avez-vous pas entendu, mais j'ai moi-même indiqué que les magistrats avaient reconnu n'avoir jamais bénéficié de moyens aussi importants. J'ai même admis que les délais d'audiencement devaient être organisés de manière globale. Mais j'ai également précisé que je m'étais engagée à défendre ces amendements auprès des associations qui nous les ont proposés et que je ne pouvais donc pas les retirer – je ferme la parenthèse.
L'amendement n° 15 ne coûterait pas grand-chose, mais il est important pour les victimes puisqu'il s'agit d'assurer une meilleure information des parties civiles, notamment lorsqu'il est fait appel d'un jugement, ce dont elles ne sont pas systématiquement informées.