Nous ne disposons pas des services de Bercy, comme vous, pour faire nos petits calculs. Si c'était le cas, nous aurions peut-être mieux calibré notre amendement. Je vous remercie donc, monsieur le ministre délégué : grâce à vous, nous pourrons vous formuler une meilleure proposition lors du prochain projet de loi de finances pour rendre l'impôt sur le revenu encore plus progressif, et vous ne pourrez plus nous opposer le même argument !