Il y a, en effet, quelques magistrats et juristes qui s'appuient sur les arguties développées devant l'ONU pour refuser aux Mahorais le droit de déterminer leur avenir et de vouloir rester dans la République. Ils font fi du choix que ces derniers ont exprimé par leur vote. Nos travaux participent à la réaffirmation du droit des Mahorais à rester dans la République s'ils le souhaitent.