Cet article nous en dit long sur l'intention des sénateurs : après avoir réécrit le projet de loi en considérant que les exilés voulaient profiter du système français, voilà qu'ils adoptent un autre angle d'attaque en accusant l'État d'être institutionnellement trop généreux – ce qui n'est évidemment pas le cas. S'agissant de votre amendement CL1412, monsieur le rapporteur, nous prendrons le temps de regarder s'il est conforme à nos aspirations.