Cette disposition totalement disproportionnée s'inscrit une nouvelle fois dans une logique punitive, qui consiste à s'attaquer aux personnes les plus fragiles. En plus d'être cruelles, les mesures automatiques placent les gens dans de grandes difficultés, dans des situations de très grande vulnérabilité. Pour des raisons d'humanité, mais aussi de cohésion sociale – une notion que nous avons tous à cœur de renforcer –, nous devons y mettre un terme.