Nous nous opposons au durcissement des critères de réunification familiale : il s'agit là d'une nouvelle attaque contre le droit au respect de la vie familiale consacré par l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme. Les dispositions de l'article 19 bis C, qui ne répondent à aucune nécessité, fragiliseraient encore davantage le droit des personnes étrangères dans notre pays.