Mon amendement vise à imposer au préfet de motiver la durée d'interdiction de retour sur le territoire français et de tenir compte de la situation personnelle de l'intéressé.
Je saisis l'occasion pour répondre aux députés du Rassemblement national qui ont demandé que les cheminots pratiquent un contrôle dans les trains : dès 2017, les cheminots se sont opposés aux consignes de la direction allant en ce sens, considérant que leur mission de service public n'impliquait pas de pratiquer la délation ni de se livrer à la chasse aux migrants.