Le Gouvernement est favorable à l'intégration d'un tel dispositif – à condition d'en exclure bien évidemment les forces de l'ordre – car les actions visées nourrissent aussi l'activité des passeurs. Dans les Hauts-de-France, notamment, certains d'entre eux entravent les dépôts de demandes d'asile pour que l'aventure rémunératrice puisse se poursuivre vers l'Angleterre. Un travail collectif s'impose, en effet, d'ici la séance publique.