Je soutiens l'amendement de la collègue Youssouffa, ainsi que celui de M. Kamardine, moins bien écrit.
Cher collègue, il faut faire attention à ne pas parler à la place de ceux qui connaissent mieux que vous la situation et ne pas en appeler à des grands principes qui ne s'appliquent pas au cas de Mayotte.
Mme Youssouffa vous explique, avec pédagogie et clarté, que certains Comoriens – il faut connaître l'histoire pour en parler – remettent en cause le fait que Mayotte soit française. Ce n'est pas acceptable dans notre République.
Il est plus prudent, chers collègue, de vous concentrer sur ce que vous connaissez et de laisser ceux qui maîtrisent parfaitement les sujets s'exprimer en toute clarté, objectivité et pédagogie.