Il s'agit de maintenir la protection que nous devons aux jeunes pris en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE). Sachant que le problème financier que j'évoquais précédemment pourrait être résolu au moyen de dotations particulières, il y n'a pas de raison de les laisser tomber même si on a décidé de les expulser du pays.
Moins on se préoccupe des personnes, plus on les livre à elles-mêmes, plus on les met en danger, plus on les place en situation de commettre des délits. Chacun est capable de le comprendre. Les conditions de vie qu'on organise pour elles sont un terreau pour la délinquance. Il ne faut pas s'en étonner ensuite.