Pour nous, l'enjeu n'est pas la protection des Français : nous ne pratiquons pas cette fausse préférence nationale.
C'est notre organisation de l'accueil qui ne fonctionne pas s'agissant de jeunes gens qui arrivent en France par leurs propres moyens, dans des conditions très difficiles, voire traumatisantes. On a confié aux départements la protection de l'enfance ; peut-être faut-il leur accorder les moyens nécessaires pour agir correctement. Mais, bien sûr, ce n'est pas d'actualité, puisque nous suivons une logique d'austérité…