Même si tout ne doit pas figurer dans la loi, nous considérons qu'elle doit fixer certains principes. Pour nous, l'intégration passe d'abord par la capacité à échanger, donc, surtout, par la pratique orale du français. L'oral est d'ailleurs plus utilisé que l'écrit dans les métiers en tension, au sujet desquels nous allons débattre de l'opportunité de régulariser des travailleurs. D'une manière générale, enfin, ce texte nous semble intéressant à la condition qui ne fige pas les choses.
Nous proposons de sous-amender les amendements identiques dans le but de préciser que la capacité des requérants à s'intégrer sera vérifiée sur la base de leur maîtrise orale de la langue. Soyons pragmatiques.