C'est dur, de supporter vos caricatures. La gauche s'évertue à mettre sur le même plan des réfugiés en situation légale et des personnes présentes irrégulièrement en France, qui ont violé nos lois pour se maintenir sur le territoire. Quand j'entends qu'elles doivent aller travailler, je me demande bien comment c'est possible puisqu'elles n'ont pas de titre de séjour ! De la même manière, l'AMU n'était pas une volonté de ne plus soigner mais de remettre en cause le panier de soins, dont les excès ont été très bien décrits par Mme Louwagie. Il faut rétablir certaines valeurs. Je reprends tout à fait à mon compte l'expression de « prime à la clandestinité ». Comment une personne française qui va travailler et ne peut pas bénéficier de réductions parce que ses revenus sont supérieurs à un certain plafond peut-elle comprendre qu'un étranger qui viole nos lois bénéficie d'une réduction de 50 % ? Il faut remettre les pieds sur Terre !