Comme l'a dit Elsa Faucillon, l'AME ne peut pas être un élément de la politique migratoire. C'est une bombe à retardement pour notre service public de santé, qui fait courir un risque d'engorgement des urgences. C'est enfin un cavalier législatif : nous avons des règles, il serait bon que, dans sa grande sagesse, le Sénat les respecte.