Il vise à demander à chaque étranger de payer une contribution financière pour l'instruction de ses demandes de titre, selon des modalités prévues par décret. En effet, on assiste à la multiplication des demandes, qui représentent un coût de temps et d'argent croissant pour les services de l'État. Il serait donc légitime que le demandeur participe même symboliquement, par exemple à hauteur de quelques dizaines d'euros.