Beaucoup dressent des comparaisons entre les étudiants étrangers et les étudiants boursiers. Pour ces derniers, la procédure se fait au sein de l'université : leur unité de formation transmet les documents au service compétent, qui apprécie leur assiduité et juge de leur sérieux. Pour les étrangers, le texte prévoit une procédure tout à fait différente : les documents doivent être transmis – par qui, l'université ou l'étudiant ? – à la préfecture, qui n'a aucune compétence académique pour juger du caractère réel et sérieux de la formation. Le parallèle est bancal.