Monsieur le rapporteur, à force d'user du « en même temps », votre position devient difficile à comprendre. D'un côté, vous souhaitez que la France soit attractive pour les étudiants étrangers. De l'autre, vous défendez un flicage intensif.
Des contrôles réguliers ont déjà lieu. J'ai enseigné à l'université et on me demandait régulièrement des attestations. Les étudiants viennent en France pour faire des études, pas pour autre chose. Si vous voulez qu'ils soient bien accueillis, vous ne pouvez pas faire planer la suspicion sur eux !. Les étudiants ne présentent aucun risque migratoire, si ce n'est celui de nous doter de personnels très qualifiés ; ceux-là, vous souhaiterez peut-être les garder ?