Madame Faucillon, c'est la deuxième fois en quelques heures que vous m'attaquez directement. J'ai entendu ce que vous m'avez dit hier, même si j'ai fait comme si je ne l'avais pas entendu : vous avez comparé mes propos et mon amendement à la politique d'exclusion des Juifs en France dans les années 1930, comme en témoignera le compte rendu de nos débats. Je n'ai toutefois pas relevé ces propos, dont j'imaginais qu'ils avaient dépassé votre pensée.