Je l'ai dit en commission, et je le répéterai la semaine prochaine ; je l'assume parfaitement.
Ce que je souhaite, par cet amendement, c'est éviter l'émergence d'une nouvelle filière d'immigration due au réchauffement climatique. Je vous rejoins sur ce point, monsieur le ministre : il n'est pas question de créer un nouveau statut, ni d'élargir les conditions dans lesquelles la France octroie l'asile, au titre d'une protection subsidiaire ou principale. L'objectif est au contraire d'éviter un phénomène migratoire directement lié au changement climatique.
Madame Faucillon, ce que vous me reprochez, c'est d'être cohérent.