Sur la forme, je redirai pour commencer qu'il est important que le Parlement s'exprime sur les questions de politique étrangère. Je veux également, de nouveau, assurer de notre amitié la commission des affaires étrangères ainsi que son président. L'accord en discussion ne s'applique pas au million d'Algériens présents sur notre sol ni aux millions qui souhaiteraient le rejoindre.
Sur le fond, comme l'a excellemment souligné ma collègue Stéphanie Kochert, nous ne devons pas être prisonniers de la mémoire : la politique mémorielle ne doit pas être l'alpha et l'oméga de la politique.