N'oublions pas, enfin, les difficultés qu'éprouvent de nombreux Algériens nés Français sur le territoire algérien ou en France hexagonale, mais qui ont perdu leur première nationalité après l'indépendance de l'Algérie. Pour ces femmes et ces hommes, obtenir la réintégration dans leur nationalité d'origine relève du parcours du combattant, ce qui constitue une véritable injustice.
Ainsi, face à votre vision réductrice des relations entre nos deux pays, nous souhaitons plutôt rebâtir un partenariat resserré, équilibré et empreint de respect, lequel reposerait sur ce qui rassemble nos deux peuples, qui ont tant en commun. Vous l'avez certainement deviné, le groupe GDR ne votera pas ce texte.