Il ne vous a pas échappé que l'organisation des courses constitue un jeu d'argent ; pour autant, ce n'est pas un fromage. Il en va de même des casinos. En outre, on parle ici de territoires en grande difficulté, ce qui n'est pas le cas, me semble-t-il, du vôtre. Par ailleurs, je rappelle que des contraintes considérables sont imposées aux casinos : pour ne citer que deux exemples, les mineurs et les personnes souffrant d'addiction aux jeux n'y ont pas accès.
Le risque vient des jeux en ligne. À l'approche des Jeux olympiques, en Seine-Saint-Denis et dans d'autres départements voisins, où vous êtes fortement implantés, des millions d'euros ont été dépensés : des jeux parallèles en ligne, addictifs, s'y tiendront mais, curieusement, je ne vous ai pas beaucoup entendu vous exprimer sur ce sujet. C'est un peu trop facile de critiquer les départements qui éprouvent de vraies difficultés, alors que vous laissez faire dans vos départements.