Ce n'est pas l'ANSES qui est en jeu. Elle autorise le produit, mais c'est la volatilité de celui-ci qui oblige à déclasser des produits bio situés à 1, 2, parfois 5 kilomètres de distance. C'est un problème de responsabilité économique et on ne peut pas identifier les responsables.
Le prosulfocarbe n'est pas interdit par l'ANSES, seulement réglementé. Mais les préjudices pour les agriculteurs bio sont insupportables. Déclasser une production bio, la mettre à la poubelle ou la vendre en conventionnel, c'est un scandale !