Comment expliquer qu'alors que l'administration centrale avait demandé aux préfets de renforcer le contrôle de légalité, ceux-ci aient fait l'inverse ? Les préfets que j'ai interrogés à ce sujet m'ont répondu qu'ils donnaient la priorité aux services au public, plus urgents que le contrôle de légalité. Quant au réarmement, cher collègue Labaronne, il n'a commencé qu'il y a deux ans et il est encore timide.