Si je vous ai refusé des crédits de déplacement, c'est parce que les accepter m'aurait amené à en accorder à tous vos collègues. Nombre d'entre eux mènent des auditions en visioconférence, comme je l'ai moi-même fait avec le préfet de la Guyane, par exemple. Cela se passe très bien, vous en conviendrez.
Quant à l'abandon de l'État, plusieurs visites ministérielles sont prévues dans les territoires ultramarins, y compris en ma présence et au nom des commissaires aux lois. Je ne suis donc pas d'accord avec vous sur ce point.