À cet égard, notre vigilance sera absolue s'agissant des risques d'addiction pour les publics les plus jeunes, tout juste sortis de l'adolescence : je pense aux 18-25 ans. Le rapport d'étape de leur réglementation sera examiné avec la plus grande attention, afin de protéger nos jeunes face à ces risques grandissants.
La question de l'anonymat en ligne devra également être explorée plus avant, eu égard aux excès dont nous sommes trop souvent les témoins impuissants. L'identité numérique pourrait un jour s'avérer utile, mais uniquement si elle permet une plus grande simplification des démarches administratives car, il faut le rappeler, l'illectronisme demeure très répandu sur notre territoire. À l'aune des avancées technologiques, c'est une donnée collective qu'il ne faut pas négliger.