Ayant été sur place hier, je ne suis pas sûr que cette rupture ait été volontaire. Ce n'est pas ce que j'ai entendu des représentants de l'État et des forces de l'ordre. Un faisceau d'indices laisse penser que des actions ont été engagées pour créer le lien. Nous sommes d'accord sur un fait : il n'a pas été établi. Je vous laisse évidemment juge de votre interprétation sur l'origine de cet échec. Cette rupture est en elle-même un problème. Le dialogue est important dans un État de droit. Si l'on va vers un affrontement, tout le monde est perdant. Personne n'a voulu la violence, sauf peut-être quelques-uns.