Si nous insistons autant sur ce sujet, c'est parce que nous avons besoin de davantage de surface pour concilier le respect de la biodiversité et la relocalisation de notre industrie.
Votre proposition revient à accroître la pression sur un certain nombre d'élus locaux : les 12 500 hectares seront en réalité très vite atteints. Écoutez donc les alertes de l'Association des maires de France (AMF) et de nombreux maires ruraux sur les problèmes qui en découleront ! Il faut, là aussi, prendre conscience de la nécessité de créer une dynamique positive, qui passe aussi par un desserrement de l'étau – le principal résultant des dispositions liées au ZAN.