C'est certes le principe du débat, monsieur le rapporteur général, mais il faut aussi savoir reconnaître la sagesse de nos collègues sénateurs : à mes yeux, recommencer l'ensemble de cette discussion – même si nous l'avons tous fait de bon cœur – a été une perte de temps.
Comme nous l'avons dit et répété, nous avons tous – les entreprises et les salariés, mais aussi l'ensemble des filières de formation que nous avons appelées de nos vœux – besoin d'une stratégie nationale et de planification. C'est pourquoi il est indispensable de rétablir cet article dans la rédaction issue des travaux du Sénat ou, à défaut, dans celle proposée par Mme Émilie Bonnivard, sous réserve de l'adoption des sous-amendements.