L'autorité judiciaire, que je respecte infiniment, n'est pas un pouvoir. C'est le garde des sceaux qui est chargé de la politique pénale, pour une raison démocratique très simple : j'ai des comptes à vous rendre.
Remettons les choses à leur place, sans polémique. Je le répète, je sais que vous ne voulez plus de ministère de la justice, mais moi, je l'aime bien, mon ministère.