Il concerne la commission d'avancement. Il s'agit d'y nommer des personnalités qualifiées n'appartenant pas au corps judiciaire, dans la limite d'un quart de ses membres. C'est une préconisation des états généraux de la justice, visant à éviter une gestion exclusivement interne du corps. La nomination de ces personnalités qualifiées serait entourée des garanties propres à préserver l'indépendance de cette instance.