Néanmoins, rien ne se passe jamais ! Dans une tribune du collectif des familles victimes d'assassinats, cosignée par plus de 200 parlementaires, les familles disent vivre dans l'oubli et l'abandon le plus total et regrettent que personne ne les aide ni ne les oriente. Elles ne reçoivent aucune proposition de relogement et sont contraintes de voir, tous les jours, le lieu où leur enfant est décédé. Et vous vous contentez de dire que vous êtes défavorables à mon amendement ? Écoutez les gens ! Écoutez tous les parlementaires qui se sont adressés au Gouvernement, pour la simple et bonne raison que rien ne se passe. Face au contexte exceptionnel que connaît la ville de Marseille, il est temps de prendre des mesures exceptionnelles. Vous répondez toujours la même chose : c'est une question de budget et il faudra le voter. Nous connaissons ce cinéma politique par cœur !