Nul ne conteste qu'il existe un problème d'accès aux soins psychiatriques en raison d'un manque de psychiatres, en prison comme dans le reste de la société, alors que beaucoup de personnes en auraient besoin.
Cependant, chère collègue, vos propos relèvent de la simplification et de la provocation. Ne parlez pas de kalachnikov : c'est une caricature ! Si vous voulez rester crédible, il faut faire dans la mesure. Depuis hier soir, mais c'est sans doute à dessein, vous dépassez franchement les limites !