Ma préoccupation pour les territoires ultramarins est, depuis que je suis député, sans faille. Je crois l'avoir prouvé au moment de la réforme du Cese – Conseil économique, social et environnemental –, lorsque nous nous étions bagarrés pour prendre ces territoires en compte de façon effective. En l'occurrence, la distinction était de mise puisque la série d'amendements dont il était question concernait les spécificités de l'outre-mer. Ces spécificités existent, tout comme il en existe pour la Corse. Je n'ai rien dit de plus.