Il s'agit d'améliorer le suivi psychologique des mineurs non accompagnés (MNA) pris en charge par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Si la santé psychologique est vue comme le maillon faible du système pour tous les publics, ses manques sont d'autant plus criants pour celles et ceux qui ont subi de grands traumatismes. Il s'agit aussi d'améliorer l'accompagnement administratif de ces jeunes. Qu'ils soient accueillis dans le cadre de la PJJ ou de l'aide sociale à l'enfance (ASE), cet accompagnement laisse en effet à désirer.